Vous ne possédez pas le Flash Player
Ce site est en flash. Si vous lisez ce texte c'est que vous ne possédez pas le lecteur flash player. Nous vous invitons à le télécharger gratuitement sur le site d' Adobe.
Si vous êtes sur un ordinateur public il est possible que vous n'ayez pas les droits nécessaires à cette installation. Contactez votre administrateur.

:// RETOUR A L'ACCUEIL

mercredi 28 janvier 2009

| Mon pénis est farfait (2)

 

de :
Jouer Cricket Votre Penis
à :
Pample
date :
27 janvier 2009 14:44
objet :
Parfait, je Crois Que mon Penis Avec mon Menton!

 

 

Pample,

mardi 11 novembre 2008

| Commémorations

 

Je n'étais pas l'ennemi, seulement le porteur de cible.
Les salves n'ont plus cessé.

 

 

Pample,

lundi 3 novembre 2008

| Lettre du 03 Novembre

 

A ce qu'il semble, derrière les façades tout était fané depuis longtemps. Consignés avec les vieux errements de la chair sont maintenant les égarements irrépressibles de l'esprit et de la voix, archivées et numérotées sont les humeurs. Quelles qu'en furent les intensités, il en restera un épais dossier et le silence comme terrifiant dénouement. Il n'y a pas à douter que je saurai l'entendre... quant à le supporter...

Pour le briser, il ne suffira pas de dire la vérité et c'est par dérision que je vais m'y attacher. Mais oui va, lis si tu le souhaites !

Je dois commencer par rappeler que l'amour n'est pas un prêt. Il n'y a ni remboursement, ni taux d'intérêts. Celui qu'on a donné ne se récupère pas car il ne nous a jamais appartenu. C'est un carburant bien volatile à la source intarissable et donc une sublime raison de s'en délecter encore. Alors ? le mien serait-il sans effet ? me crois-tu tari ? est-ce seulement possible aux mortels ? quand il me prend la folie de vouloir fermer les vannes j'éclate comme un ballon... alors pourquoi n'avoir saisi qu'un filet quand il y avait un flot ? pourquoi trier ? des litres précieux sont retournés stériles à la terre et, désabusé, j'ai même du parfois envisager de me retirer pour sauvegarder l'essentiel.

Et bien alors, cette essence, l'aurais-je promise à d'autres ? aurais-je été tenté ? aurais-je seulement pu l'être ?... et par quoi ? et par qui ? qui est encore là ? il n'existe plus grand chose ici et rien qui puisse encore se partager. Pas même ces souvenirs qui ne concordent plus. Sans malice, en posant bien les termes, je peux affirmer que ne me suis jamais balancé sans rompre nette la corde. Las, je décline invariablement toute invitation sans pour autant réussir à prévenir les accidents.

Mais laissons, il y a plus grave. Car le passé a été fouillé, inhumé, profané. On en a sorti pêle-mêle de la trahison, du mensonge, des rancoeurs, de sombres révélations, rien que la fange en vérité comme on aurait pu s'y attendre. Regardons, humons. Quelle extase ! il faudra penser à en faire état autour de nous. Amis, témoins, parents conviés à la fête, voyeurs d'un engagement piétiné avec délectation, un guet-apens, une préméditation. L'avant-première avait donné le ton et malgré une audience sur la réserve, la tragédie en trois actes a bien eu lieu, irrévocable. Ah ! mais de spectacle il n'y aura point cette fois ! j'ai décidé il y a des lustres de délaisser la scène. Une seule version sera publiée, et mon orgueil me pousse à penser que ce ne sera pas la meilleure.

Avant le plongeon, avant la fin, remontons encore un peu jusqu'à la cicatrice. Un amour aussi fugace que dévastateur était-il préférable à cette lente agonie ? L'amertume s'est déjà chargé de trahir la réponse et il faut le contexte : en 1999 nous étions tous impatients de vivre la fin du monde. Cela s'est révélé sans intérêt et j'y ai laissé ma peau. Ce qui n'a pas aidé ensuite c'est que je me suis révélé aussi médiocre mort que vivant. Médiocre à la compassion, médiocre à l'affection, j'ai du m'en remettre à l'inspiration et lui faire endosser mes limites. Pratique dans l'urgence mais insuffisant à résoudre les échéances.

Enfin coupons court, il ne suffira pas de régler le passé, de saisir le présent ou d'envisager l'avenir : je vais devoir m'éteindre. Je sais par expérience qu'il ne restera rien de ces mots, ils seront rejetés car je suis un cabot et j'ai encore tenté de sublimer... Pas de regrets, il n'aurait pas suffit de dire la vérité.

C'était ainsi : pour terminer.

 

 

Pample,

mardi 9 septembre 2008

| Rainforest

 

forest

Sonore, fort et plein,
Tremble au plus profond,
Puis rien.

Que l'on sache, rien n'est lâche a trouver pour fin,

La hache.



 

 

Pample,

lundi 25 août 2008

| Mon penis est farfait

 

 

 

Pample,

jeudi 29 mai 2008

| Peur du vide

 

C'est une bien longue absence...























... Je prie pour qu'il ne me soit rien arrivé.

 

 

Pample,

dimanche 20 janvier 2008

| photoblog.pample.org

 



NOUVEAU !
Romans-photos mis en textes et musiques sur :
pample.org : photoblog
(cliquez sur l'image)

 

 

Pample,

mercredi 15 août 2007

| Costa del Sol

 

 

 

Pample,

| moteur : Dotclear | design : Pegeco